« Les vieillard  aiment à donner de bons préceptes pour se consoler de ne plus être en état donner de mauvais exemples »

Ecrivain et moraliste français. Destiné à la carrière des armes  il y manifeste sa bravoure. Il se mêle aux intrigues contre Richelieu puis contre Mazarin. Gravement blessé pendant la Fronde aux côtés du Condé, il abandonne les complots politiques pour se rallier au roi. Il commence alors une carrière de mondain. Ses Réflexions, ou Sentences et maximes morales (1665) sont sans complaisance. Il eut pour tendre amie Madame de La Fayette ( La princesse de Clève) de vingt ans plus jeune que lui.